« Aujourd’hui était l’avant-dernière opportunité de sprint sur ce Giro, et nous avons à nouveau bien travaillé en équipe pour que je puisse tenter ma chance. Ce quatrième top 10 est une satisfaction, même si je regrette une décision dans les derniers hectomètres. J’ai choisi de rester dans la roue de Tim Merlier, au lieu d’anticiper et le surprendre. Son accélération finale était trop élevée pour moi, la septième place était donc la meilleure possible. » « Après dix-huit étapes, les sensations sont plutôt bonnes, bien que la fatigue s’est inévitablement installée dans les organismes depuis plusieurs jours. L’inconfort causé par mes chutes s’est fortement atténué, sauf à la main gauche qui ne permet pas de maintenir le guidon parfaitement. À présent, j’espère survivre aux deux dernières étapes de montagne, en rejoignant un bon groupe sans à m’inquiéter des délais. Mon regard est déjà tourné vers Rome, où j’ai envie de terminer en beauté mon premier Grand Tour. »
