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Clasica San Sebastian

Lorenzo Rota veut réitérer sa prestation de l’an dernier

Ce samedi, Intermarché-Wanty-Gobert Matériaux participera à la Clásica San Sebastian (1.UWT, 30/07) pour la deuxième fois. L’an dernier, la World Team avait marqué sa première apparition grâce notamment à Lorenzo Rota, qui avait pris la quatrième place.

Le parcours de cette édition sera d’ailleurs identique à la précédente, le tracé de 224 kilomètres dessiné autour de Saint-Sébastien comporte trois ascensions en première moitié de course, à savoir les montées de Azkarate (4,4km à 7,6%), Urraki (8,8km à 6,7%) et Alkiza (4,5 km à 5,8 %). 

Dans les 70 derniers kilomètres, trois autres difficultés principales se dresseront sur le chemin des coureurs, à commencer par l’Alto de Jaizkibel (7,4km à 5,8%) suivi presque immédiatement par le Puerto de Erlaitz (4km à 10,4%).

La saison dernière, Lorenzo Rota s’était échappé dans la descente de Erlaitz au sein d’un quintet, qui s’est alors dirigé vers la dernière montée de Murgil (2,1 km sur 9,8 km) en tête de course. En lutte pour la victoire, Rota avait finalement été emmené par la chute de Mikkel Honoré dans la portion descendante, échouant ainsi au pied du podium. 

Le vice-champion d’Italie revient sur l’épreuve, au sortir d’un solide Tour de Wallonie qu’il vient d’achever à la quatrième place. Il sera accompagné par Jan Bakelants, vainqueur de la dernière étape en Wallonie et qui en sera à sa septième participation à l’épreuve (11ème en 2017, 12ème en 2013).

Simone Petilli prendra part à la « Klasikoa » pour la deuxième année d’affilée. Il s’agira en revanche d’une première participation pour Théo Delacroix, Domenico Pozzovivo et Corné Van Kessel, qui complètent la sélection dirigée par Valerio Piva et Jean-Marc Rossignon. 

« Je voulais absolument retrouver la Clásica San Sebastian, car c’est la première course où j'ai pu faire mes preuves au plus haut niveau. Le parcours me correspond, à savoir usant et avec des montées d'une longueur adéquate. Mon envie, c’est de réitérer ma performance de l’an dernier. Mais les circonstances seront complètement différentes ce samedi. Je me sens frais, je reviens d’un stage en altitude à Livigno et d’un Tour de Wallonie réussi pour l’équipe. Tandis que l’an passé, j’ai pu profiter de ma forme après mon tout premier Tour de France. Du point de vue de la météo aussi, les conditions seront sans doute meilleures que la pluie et les routes humides auxquelles nous avons eu droit l’année passée. » « Quoi qu’il en soit, nous sommes déterminés à courir offensivement. C’est un style de course que j’affectionne, j’aime courir à l’instinct lorsque j’estime que c’est le bon moment, peu importe la distance qui nous sépare de l’arrivée. Au Tour de Wallonie, c’est d’ailleurs grâce à une offensive audacieuse sur l’étape reine que Loïc Vliegen et moi avons pu nous positionner favorablement au général. J’avais notamment accéléré sur le Col de La Redoute, à 56 kilomètres de l'arrivée. La victoire de Jan Bakelants dans la dernière étape a couronné notre travail d'équipe. Il a travaillé pour nous toute la semaine et voulait me servir de poisson-pilote dans le dernier kilomètre. Mais il s’est dressé sur ses pédales avec une telle force que j'ai décidé de laisser un trou, que personne n’a su combler. Je suis heureux de le savoir avec nous ici à Saint-Sébastien, au sein de notre équipe solide. »

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