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Milano-Torino

Trois semi-classiques italiennes avant le dernier Monument

Dans la dernière ligne droite vers le cinquième et dernier monument de la saison, l’équipe Intermarché-Wanty-Gobert Matériaux sera au départ de trois semi-classiques italiennes dans les régions voisines de Lombardie et du Piémont. Pour la deuxième fois de son histoire, l’équipe participera aux Trois vallées varésines (1.Pro, 5/10) mardi, à Milan-Turin (1.Pro, 6/10) le lendemain et Tour du Piémont (1.Pro, 7/10) jeudi.

Mercredi, la classique de Milan-Turin propose une arrivée au sommet de la colline de Superga (4,9 km à 9%), dont le Pô arrose le pied. Celle-ci fait son retour dans le tracé après une édition 2020 réservée au sprinteurs. Les coureurs auront l’occasion d’aborder une première fois cette ascension trente kilomètres auparavant. Cet enchaînement de Superga est précédé d’une longue traversée de 160 kilomètres depuis Magenta à l’ouest de la ville métropolitaine milanaise, avec la seule montée de Zimone (4 km à 4,8%) comme difficulté répertoriée à la mi-parcours. Au total, les coureurs devront accomplir 190 kilomètres. Le Sud-Africain Louis Meintjes y reprendra la compétition depuis le Tour d’Espagne, et il sera accompagné du Français Jérémy Bellicaud, du Tchèque Jan Hirt, des Italiens Riccardo Minali et Simone Petilli ainsi que l’Estonien Rein Taaramäe.

« L'équipe tourne à plein régime et c'est formidable de voir à quel point tout le monde est motivé pour se livrer au maximum jusqu'au dernier jour de la saison. Nos excellentes performances des derniers mois font d’ailleurs l’objet de compliments des autres équipes du peloton, admiratives de notre cohésion. Pour ce qui me concerne, j’ai profité d’agréables retrouvailles avec mes coéquipiers sur le sol français après un mois et demi sans compétition. J’ai travaillé dur pour m’élever au haut niveau de mes coéquipiers et je me sentais bien sur la Route Adélie de Vitré et la Classique Loire-Atlantique, où malheureusement j'ai été victime du bitume glissant. Ces chutes n’ont heureusement pas laissé de traces et je peux envisager les jours qui arrivent avec confiance. Comme en France, les Trois vallées varésines comportent des circuits locaux et on doit s’attendre à temps capricieux. Il m’est impossible de prédire quoi que ce soit, tant les jeunes coureurs ont tendance à réécrire les lois du cyclisme cette saison. Par mauvais temps, ce qui est certain, c’est que la vigilance doit être de mise dès le premier kilomètre. Je me souviens du Tour du Piémont 2015 que j’ai remporté, la météo était aussi très mauvaise… » 

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