« J’ai eu l’opportunité de sprinter aujourd’hui, car nos leaders du classement général ont pu sereinement rallier l’arrivée dans le premier groupe. Le peloton a avalé les 100 derniers kilomètres à près de 60 km/h de moyenne pour réduire l’écart avec l’échappée. Je dois dire que nous disposions d’un gros avantage, notamment pour négocier confortablement les descentes, grâce à nos vélos aérodynamiques et aux pneus Continental tubeless. » « C'est la première fois de ma carrière que je réalise plus de dix jours de course d'affilée. Le staff nous aide grandement dans la récupération et nous pouvons maintenir le rythme quotidiennement. Pour l’instant, mes sensations sont bonnes et j’espère pouvoir en profiter le plus longtemps possible. Depuis notre arrivée en Italie et l’étape de l’Etna, l’intensité des étapes n’a jamais baissé. Le grand départ en Hongrie semble déjà lointain. Avec du recul, je pourrai réaliser à quel point c’était un rêve de faire ses débuts dans un Grand Tour dans ma ville natale. » « J’étais venu pour aider Biniam Girmay dans des arrivées comme aujourd’hui, avec Aimé De Gendt et Loïc Vliegen. Depuis que Bini a quitté la course, notre groupe solidaire est parvenu à se motiver rapidement. Nous voulons courir de façon offensive et en même temps, protéger nos leader du général qui font un très bon Giro. »
Barnabás Peák Tweet